Les 5 meilleures nouveautés moto 2025 d'Amélie

Suzuki a suscité un vif intérêt intergénérationnel avec les nouveaux modèles DRZ. La DRZ400, lancée il y a 24 ans, a su conquérir un large public au fil du temps. Beaucoup collectionnent même les nombreuses versions de cette moto Dual Sport. Mon partenaire possède également une ancienne DRZ dans son garage, qui est souvent utilisée et profondément appréciée.

La DRZ4S occupe la première place pour moi pour plusieurs raisons. J'admire depuis des années les anciens modèles DRZ pour leur durabilité et leur robustesse. Cette caractéristique m'a toujours attiré vers une RMZ des années 2000 pour ma propre moto de motocross. Il y a environ un an, j'ai acquis mes premières expériences en tout-terrain, qui m'ont montré que le poids et la maniabilité sont bien plus importants que la puissance. Surtout parce que les chutes ou les basculements sont inévitables sur un terrain difficile. Étant une femme mince avec une force modérée dans les bras, je veux pouvoir redresser ma moto en cas de besoin (bien sûr, avec la bonne technique). J'ai pu constater lors de la production vidéo des deux modèles (4S et SM) que la DRZ4S, avec sa hauteur de selle (920 mm) et son poids, est une option accessible. Avec ses 151 kg, 38 ch et une selle étroite, elle a marqué des points lors de son lancement. L'éclairage LED et les systèmes d'assistance complètent cette moto pour en faire un candidat Dual Sport moderne, qui, dans son look jaune (en option) et moderne, appartient toujours indéniablement à la famille Suzuki. Le fait de pouvoir passer directement de la route au gravier est un autre grand avantage. Je peux imaginer qu'un débutant pourrait se risquer sur une piste de motocross avec la DRZ4S. J'ai moi-même déjà acquis de l'expérience - même avec l'enduro, cela peut bien fonctionner au début et offre un grand progrès d'apprentissage :).

Bien sûr, pour se concentrer principalement sur le motocross, il est préférable de choisir des machines de cross pures, car elles sont nettement plus légères, plus vives et plus rigides en comparaison. MAIS, pour une première approche, cela devrait suffire. Dans l'ensemble, la 4S semble être une moto maniable et polyvalente avec beaucoup de plaisir de conduite sous son carénage éclatant. J'espère pouvoir la découvrir à l'avenir - bien sûr, intensément sur route ET sur gravier.

Une moto de série qui se rapproche le plus possible d'une moto de rallye victorieuse ? - C'est ce qu'Aprilia souhaite offrir avec la nouvelle Tuareg Rallye. Et il semble que le pilote de course Jacopo Cerutti, en collaboration avec les développeurs d'Aprilia, ait réussi à créer quelque chose de solide et en plus de cela, de joli. Les passionnés de tout-terrain savent certainement bien quelles caractéristiques un vélo robuste et agile doit posséder - et c'est ce qu'Aprilia vise ici. La Tuareg reçoit une mise à jour raffinée : une selle plus haute (+20 mm) et un guidon révisé facilitent le passage entre la position assise et debout, 240 mm de débattement avec une constante de ressort linéaire et un amortisseur Kayaba pour la stabilité et le contrôle sur terrain accidenté, des roues à rayons avec jantes en Ergal, une béquille latérale renforcée et une protection moteur en aluminium massif. Enfin, une nouvelle gestion du moteur pour une meilleure réponse à l'accélération et une précision accrue. Ça donne envie... Que la moto soit également très élégante visuellement contribue bien sûr à l'évaluation. Conclusion : je ne dirais certainement pas non à une tournée sur la Tuareg Rallye. Si elle répond vraiment à sa description, je roulerais probablement jusqu'au coucher de soleil sablonneux.

Que la Triumph Speed Twin 900 soit bien plus qu'une élégante moto rétro, j'ai pu le découvrir personnellement. Avec son moteur au caractère affirmé, son châssis optimisé et ses fonctionnalités modernes, elle réussit brillamment à allier design classique et performance contemporaine. Le son du moteur bicylindre parallèle de 900 cm³, développant 65 ch à 7 500 tr/min et un couple généreux de 80 Nm, m'a agréablement surpris. Le grondement profond lors de l'accélération contribue au plaisir de chaque sortie, et l'esthétique soignée et de haute qualité attire de nombreux regards. Que la Speed Twin puisse être conduite non seulement confortablement mais aussi de manière plus rapide (et cela de façon très fluide et harmonieuse) m'a finalement conduit à lui attribuer la 3ème place. Ceux qui préfèrent le design culte et le charme des anciennes Triumph Classics inchangées trouveront certainement un favori parmi ces icônes authentiques - l'hommage rendu par Triumph est remarquablement réussi.

Étant donné que même les moteurs plus petits procurent beaucoup de plaisir et sont désormais intégrés dans des châssis ultra-modernes, je souhaite mentionner une autre nouveauté A2. Même si cette nouveauté est encore considérée comme un concept...

Au cœur de la future F 450 GS bat un tout nouveau moteur bicylindre en ligne, entièrement développé à partir de zéro. Ce détail a déjà éveillé mon intérêt il y a quelques mois. Avec 48 chevaux, il entend exploiter pleinement la limitation de la classe A2 et promet une expérience de conduite particulièrement caractéristique et poussive grâce à un décalage d'allumage innovant. J'ai pu constater de près à l'Eicma que le son provoque un large sourire et donne envie d'en avoir plus. À cela s'ajoutent des caractéristiques convaincantes telles que le BMW Motorrad ABS Pro (dépendant de l'angle d'inclinaison), des modes de conduite configurables, un frein performant et un puissant écran TFT de 6,5 pouces avec connectivité. Tout ce dont on a besoin et bien plus encore. Le plus grand atout pour moi personnellement est que la nouvelle GS devrait être très adaptée au tout-terrain - ainsi, les longues sorties peuvent être rendues passionnantes et la machine, avec ses 175 kilos visés (espérons-le), deviendrait un véritable poids plume. Il reste à voir si la barre en termes de performance et de poids n'est pas placée trop haut (ou trop bas ;) ). Un projet passionnant qui semble prometteur tant à l'extérieur qu'à l'intérieur.

Équipée du moteur CP3 de 890 cm³ à couple élevé de la populaire MT-09, la nouvelle R9 me séduit non seulement par son apparence. Le cadre entièrement nouveau ne pèse que 9,7 kg – le design de cadre le plus léger du segment supersport de Yamaha. Il est censé offrir une grande rigidité tout en garantissant une agilité impressionnante et une maniabilité précise. Si ces aspects ne sont pas exagérés et que l'expérience de conduite procure effectivement autant de plaisir sur route et surtout sur piste de course, alors nous pourrions avoir découvert un trésor. Bien que la R9, avec son design, ne passera probablement pas inaperçue.

Il n'est pas un secret que l'on transpire déjà beaucoup en course avec la R6 et que Yamaha a déjà quelques sportives populaires dans ses rangs - il reste donc à voir comment la grande sœur se comportera à l'avenir. J'espère pouvoir bientôt découvrir par moi-même si la supersportive tient ses promesses.